" Comment diable s'arrangeait George Sand ?
Cette robuste ouvrière des lettres trouvait moyen de finir un roman, d'en commencer un autre dans la même heure.
Elle n'en perdait ni un amant ni une bouffée de narghilé, sans préjudice d'une Histoire de ma Vie en vingt volumes
et j'en tombe d'étonnement. Puissamment, elle agença pêle-mêle son travail, ses chagrins guérissables et ses félicités limitées.
Je n'aurais pas su en faire autant... "
( Colette à propos de George Sand - Pléiade IV -)