西尾治子 のブログ Blog Haruko Nishio:ジョルジュ・サンド George Sand

日本G・サンド研究会・仏文学/女性文学/ジェンダー研究
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仏語圏言語文化学会2021年度大会 9月14日

2021年08月30日 | 覚え書き
9月14日(火)14時からお茶の水女子大学仏語圏言語文化学会2021年度大会(Zoom)を開催いたします。
詳細は添付のポスターをご覧ください。
非会員の方もふるってご参加ください。

※ 非会員の方は下記 URL または QR code よりお申し込 みください。 https://forms.gle/15b3HdKGW5cvU3BWA

14:00~14:10 総会・開会挨拶
14:15~14:55 話題提供(講演)
フランコフォニーとオリンピック・パラリンピック 小松 祐子(お茶の水女子大学教授)
15:00~16:00 研究発表
1.19世紀末のフランスにおける観光資源の活用 梶谷 彩子(お茶の水女子大学非常勤講師)
2.エジプトの踊り子たち −デュ・カンとフロベールの旅行記における描写の比較− 渡辺 采香(お茶の水女子大学博士後期課程)
16:00 閉会挨拶

2021年9月14日(火) お茶の水女子大学 仏語圏言語文化学会 2021年度大会
❖ オンライン開催
 ❖ Zoom ミーティング(無料)(非会員の参加を歓迎します)

※ 非会員の方は下記 URL または QR code よりお申し込 みください。 https://forms.gle/15b3HdKGW5cvU3BWA

お 問 合 せ
〒112-8610 東京都文京区大塚 2-1-1 お茶の水女子大学 
仏語圏言語文化コース内




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Call for Papers

2021年08月29日 | 覚え書き
We invite contributions on topics including but not limited to the following:
 
· new frontiers in Sand Studies
· travel and migration
· identity (national, regional, class, …)
· music and art
· utopia and politics
· role of wilderness
· terroir (agriculture, farming, food)
· space (personal/domestic/public)
· human and non-human worlds
· Sand as trailblazer
· gender roles and the limits of gender
 
Submissions for individual papers or sessions may be in French or English and should be in the form of an abstract (250-300 words).
Deadline for submissions is 15 October 2021
Decisions will be sent by 1 December 2021

https://www.gsc2022.com/call-for-papers
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アンデイアナ 前書き 1832

2021年08月29日 | 覚え書き
1832
Si quelques pages de ce livre encouraient le grave reproche de tendance vers des croyances nouvelles, si des jugès rigides trouvaient leur allure imprudente et dangereuse, il faudrait répondre à la critique qu'elle fait beaucoup trop d'honneur à une œuvre sans importance; que pour se prendre aux grandes questions de l'ordre social il faut se sentir une grande force d'ame, ou s'attribuer un grand talent, et que tant de présomption n'entre point dans la donnée d'un récit fort simple où l'écrivain n'a presque rien créé. Si dans le cours de sa tâche il lui est arrivé d'exprimer des plaintes arrachées à ses personnages par le malaise social dont ils sont atteints; s'il n'a pas craint de répéter leurs aspirations vers uueexistence meilleure, qu'on s'en prenne à la société pour ses inégalités, à la destinée pour ses caprices. L'écrivain qui les retrace n'est qu'un miroir qui les reflète, une machine qui les décalque, et qui n'a rien à se faire pardonner si ses empreintes sont exactes, si son reflet est limpide. Ensuite considérez que le narrateur n'a pris pour son texte, ni pour sa devise, quelques cris de souffrance et de colère épars dans le drame d'une vie humaine. Lui, n'a point la prétention de cacher un enseignement grave sous la forme d'un conte. Il ne vient pas donner son coup de main à l'e'difice qu'un douteux avenir nous prépare, son coup de pied à celui du passé qui s'écroule. Il sait trop que nous vivons dans un temps de ruine morale, où la raison humaine a besoin de stores pour atténuer le trop grand jour qui l'éblouit. S'il s'était senti assez docte pour faire un livre vraiment utile, il aurait gazé la vérité, au lieu de la présenter avec ses teintes crues et ses effets tranchans. Ce livre-là eùt fait l'office des lunettes bleues pour les yeux malades.
Il ne renonce point à remplir quelque jour cette tâche honnête et généreuse mais, jeune qu'il est aujourd'hui, il vous
raconte ce qu'il a vu sans oser prendre ses conclusions sur ce grand procès entre l'avenir et le passé, que peut-être nul homme de la génération présente n'est bien compétent pour juger. Trop consciencieux pour vous dissimuler ses doutes, mais trop timide pour les ériger en certitudes, il vous laisse les réflexions, et s'abstient, lui, de porter dans la trame de son récit des idées préconçues des jugemens tout faits. Il remplit son métier de conteur avec ponctualité. Il vous dira tout, même ce qui est fâcheusement vrai; mais si vous l'affubliez de la robe du philosophe, vous le verriez bien confus lui, simple diseur, chargé de vous amuser et non de vous instruire. Fùl-il plus mûr et plus habile, il n'oserait pas encore porter la main sur les grandes plaies de la civilisation agonisante. Il faut être si sùr d'être propre à les guérir, quand on se risque à les sonder Il aimerait mieux essayer de vous rattacher à d'anciennes croyances anéanties, à de vieilles dévotions perdues, plutôt que d'employer son talent, s'il en avait, à foudroyer les autels renversés. H sait pourtant que par l'esprit de charité qui court une conscience timorée est méprisée comme une réserve hypocrite dans les opinions, de même qu'une allure timide est raillée comme un maintien ridicule dans les arts; mais il sait aussi qu'à défendre les causes perdues il y a honneur, sinon profit.
Pour qui se méprendrait sur l'esprit de ce livre, une semblable profession de foi jurerait comme un anachronisme. Le narrateur espère qu'après avoir écouté son conte jusqu'au bout, peu d'auditeurs
nieront la moralité qui ressort de ses faits et qui triomphe là, comme dans toutes les choses humaines. Il lui a semblé en l'achevant que sa conscience était nette, que le code légal qui doit régler ici bas les battemens de sa poitrine d'homme pouvait bien le tenir quitte. Il s'est flatté enfin d'avoir raconté sans trop d'humeur les misères sociales, sans trop de passion les passions humaines. Il a mis la sourdine sur ses cordes quand elles résonnaient trop haut, la colophane sur son archet quand il courait trop vite. Il a tâché d'assourdir certaines notes de l'ame qui doivent rester muettes certaines voix du coeur qu'on n'éveille pas sans danger.
Peut-être lui rendrez-vous justice, si vous convenez qu'il vous a montré bien misérable l'être qui veut s'affranchir de son frein' légitime, bien désolé le cœur qui se révolte contre les arrêts de sa destinée. S'il n'a pas donné le plus beau rôle possible à tel de ses personnages qui représente la loi, s'il a montré moins riant encore tel autre qui représente l'opinion, vous en verrez un troisième qui représente l'illusion et qui déjoue cruellement tes vaines espérances les folles entreprises de la passion. Vous verrez enfin que s'il n'a pas effeuillé des roses sur le sol où la loi parque nos volontés comme des appétits de mouton, il a jeté des orties sur les chemins qui nous en éloignent.
Voici, ce me semble, qui doit garantir suffisamment le livre du reproche d'immoralité mais si vous voulez absolument qu'un roman finisse comme un conte de Marmontel ou comme un vaudeville de M. Scribe, vous nous reprocherez peutêtre les deruières pages; vous trouverez mauvais que nous n'ayons pas jeté dans la misère et l'abandon l'être qui pendant deux volumes a transgressé les lois humaines. Ici l'auteur vous répondra qu'avant d'être moral il a voulu être vrai il vous répétera que se sentant trop neuf pour faire un traité philosophique sur la manière de supporter la vie, il s'est borné à vous dire Indigna une histoire du. coeur humain avec ses faiblesses, ses violences, ses droits, ses torts, ses biens et ses maux.
Indiana, si vous voulez absolument expliquer tout dans un livre, c'est un type; c'est la femme, l'être faible chargé de représenter les passions opprimées, ou si vous l'aimez mieux réprimées par les lois; c'est la volonté aux prises avec
la nécessité c'est l'amour heurtant son front aveugle à tous les obstacles de la civilisation. Mais le serpent use et brise ses dents à vouloir ronger une lime, les forces de l'ame s'épuisent à vouloir lutter contre le positif de la vie. Voilà ce que vous pourrez conclure de cette anecdote, et c'est dans ce sens qu'elle fut racontée à celui qui vous la transmet. Malgré ces protestations, le narrateur s'attend à des reproches. Quelques ames probes, quelques consciences d'honnêtes gens s'alarmeront peut-être de voir la vertu si rude, la raison si triste, l'opinion si injuste. Il s'en effraie, car ce qu'un écrivain doit craindre le plus au monde, c'est d'aliéner à ses productions la confiance des hommes de bien; c'est d'éveiller des sympathies funestes dans les âmes aigries, c'est d'envenimer les plaies
déjà trop cuisantes que le joug social imprime sur des fronts impatiens et rebelles.
Le succès qui s'étaye sur un appel coupable aux passions d'une époque est le plus facile à conquérir, le moins honorable à tenter. L'historien d'Indiana se défend d'y avoir songé; s'il croyait avoir atteint ce résultat, il anéantirait son livre, eût-il pour lui le naïf amour paternel qui emmaillotte les productions rachitiques de ces jours d'avortemens littéraires. Mais il espère se justifier en disant qu'il a cru mieux servir ses principes par des exemples vrais que par de poétiques inventions. Avec le caractère de triste franchise qui l'enveloppe, il pense que son récit pourra faire impression sur des cerveaux ardens et jeunes. Ils se méfieront difficilement d'un historien qui
passe brutalement au milieu des faits, coudoyant à droite et à gauche sans plus d'égard pour un camp que pour l'autre. Rendre une cause odieuse ou ridicule, c'est la persécuter et non pas la combattre. Peut-être que tout l'art du conteur consisté à intéresser à leur propre histoire les coupables qu'il veut ramener, les malheureux qu'il veut guérir. Ce serait donner trop d'importance à un ouvrage destiné sans doute à faire peu de bruit, que de vouloir écarter de lui toute accusation. Aussi l'auteur s'abandonne tout entier à la critique; une seule lui semble trop grave pour qu'il l'accepte, celle d'avoir voulu £iire un livre dangereux. Il aimerait mieux rester à jamais médiocre que d'élever sa réputation sur une conscience ruinée. Il ajoutera donc encore un mot pour repousser le blâme qu'il redoute le plus.
Raymon, direz-vous, c'est la société, l'égoïsme c'est la morale, c'est la raison. Raymon, répondra l'auteur, c'est la fausse raison, la fausse morale par qui la société est gouvernée, c'est l'homme d'honneur comme l'entend le monde, parce que le monde n'examine pas d'assez près pour tout voir. L'homme de bien, vous l'avez à côté deRaymon, et vous ne direz pas qu'il est l'ennemi de l'ordre, car il immole son bonheur, il fait abnégation de lui-même devant toutes les questions d'ordre social.
Ensuite vous direz que l'on ne vous a pas montré la vertu récompensée d'une façon assez éclatante. Hélas on vous répondra que le triomphe de la vertu ne se voit plus qu'aux théàlres du boulevard.
L'auteur vous dira.qu'il ne s'est pas engagé à vous montrer la société vertueuse mais nécessaire, et que l'honneur est devenu difficile comme l'héroïsme dans ces jours de décadence morale. Pensez-vous que cette ve'rite' dégoûte les grandes ames de l'honneur! Nous pensons tout le contraire.
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Sur France Musique, “Le fabuleux destin de Pauline Viardot”, la diva oubliée

2021年08月25日 | 覚え書き
Irène Verlaque
Publié le 14/08/21

Saint-Saëns, Berlioz, Chopin… Elle faisait l’admiration de tous, mais qui s’en souvient ? À l’occasion du bicentenaire de sa naissance, Charlotte Landru-Chandès remet en lumière cette cantatrice et compositrice majeure du siècle romantique.
Elle fut une cantatrice et pianiste virtuose du XIXe siècle, intime des grandes personnalités de son temps comme George Sand, Alfred de Musset ou Ivan Tourgueniev. Aujourd’hui, pourtant, le nom de Pauline Viardot n’évoque plus grand-chose au commun des mortels. À l’occasion du bicentenaire de sa naissance, Charlotte Landru-Chandès remet en lumière cette artiste oubliée. Chaque dimanche sur France Musique, elle raconte son Fabuleux destin dans une émission musicale hybride, qui mêle récit documentaire et fiction. « Sa vie était un vrai roman, alors j’ai eu envie d’incarner davantage le personnage », explique la productrice, qui a confié ce rôle à la mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac. De temps en temps, cette dernière surgit donc au milieu d’un épisode pour donner chair aux aventures de la musicienne voyageuse.

Fille du grand ténor espagnol Manuel García et de la chanteuse d’opéra Joaquína Briones, Pauline grandit dans la musique et fait des prouesses au piano, sous la férule de Franz Liszt. Dans un premier temps, c’est surtout sa sœur, la diva Maria Malibran, qui fait tourner les têtes. Mais lorsque cette dernière meurt d’un accident de cheval en 1836, on attend que Pauline prenne la relève. Elle donne ainsi son premier récital à 16 ans et conquiert le public. Sa tessiture très ample, grave et suave, lui permet de tout chanter. « Sa voix n’était pas de velours ou de cristal mais un peu âpre […], faite pour la tragédie ou l’épopée », écrivait son ami le compositeur Camille Saint-Saëns, tandis que Berlioz lui dédiait une partition et que Chopin louait ses talents de pianiste.
Au fil des épisodes, rythmés par des sonates de Schubert et des extraits d’opéras de Rossini, Charlotte Landru-Chandès brosse avec finesse le portrait d’une femme moderne, qui a joué un rôle central dans le siècle romantique grâce à son talent et son entregent. « Elle était sur tous les fronts et ne se plaignait jamais. Elle partait en tournée à travers l’Europe pour poursuivre sa carrière tout en étant mère de quatre enfants », souligne la mélomane. Et de conclure, conquise : « Pauline Viardot était laide, et malgré ça tout le monde était en admiration devant elle, en raison de son intelligence et de sa culture. À l’époque déjà, c’était rare, et je trouve ça très beau. »
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贈与交換と新たなアナキズムーマルセル・モースから出発して(日仏文化講演シリーズ第354回)

2021年08月23日 | 覚え書き
講演会・トーク
贈与交換と新たなアナキズムーマルセル・モースから出発して(日仏文化講演シリーズ第354回)
講師:山田広昭(東京大学)、司会:重田園江(明治大学)


2021-09-17(金) 18:30 - 20:00
会場オンライン(en ligne)
参加費一般1,000円、日仏会館会員・日仏会館学生オンラインメンバーシップ無料
言語日本語
主催(公財)日仏会館

https://www.mfjtokyo.or.jp/events/lecture/20210917.html
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フランス革命、文学的想像力への汲みつくしえぬ源泉―ロマン・ロランの「革命劇」をめぐって

2021年08月20日 | 覚え書き
講演会・トーク

フランス革命、文学的想像力への汲みつくしえぬ源泉―ロマン・ロランの「革命劇」をめぐって
講師:エリック・アヴォカ(大阪大学) 、司会:ベルナール・トマン(日仏会館・フランス国立日本研究所)


2021-09-24(金) 18:00 - 20:00
会場オンライン(en ligne)
参加費無料
参加登録日仏会館・フランス国立日本研究所ウェブサイトから
言語フランス語(同時通訳付き)
主催日仏会館・フランス国立日本研究所
協力(公財)日仏会館

https://www.mfjtokyo.or.jp/events/lecture/20210924.html
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George Sand et le monde des objets

2021年08月19日 | 覚え書き
George Sand et le monde des objets
  • Éditeur: Classiques Garnier
  • Mise en ligne: 28/07/2021
  • Type de publication: Collectif        38,00 €

  • Directrices d'ouvrage: Auraix-Jonchière (Pascale), Diaz (Brigitte), Masson (Catherine) 
  • Résumé: George Sand n’est ni sociologue ni peintre d’objets, et pourtant ces derniers ont beaucoup compté dans sa vie domestique et créatrice et, dès leur perception première, dans sa vision du monde. Ce livre montre la place qui fut la leur dans son quotidien et dans sa relation à l’écriture.
  • Nombre de pages: 510
  • Parution: 28/07/2021
  • Collection: Rencontres, n° 504
  • Série: Études dix-neuviémistes, n° 57
PREMIÈRE PARTIE
LES OBJETS DANS L’ESPACE SOCIAL

Pages 21 à 35
Objets sandiens et musées, reliques ou outils de médiation ?
Dussault (Annick)

Pages 37 à 51
George Sand
Les objets de Nohant, construction scénographique et construction intime
Raillon (Domitille)

Pages 53 à 67
« Nohant n’est plus Nohant, c’est un théâtre »
Le décor intime des objets scéniques
Mazzoleni (Elena)

Pages 69 à 79
L’objet herbier dans la vie et l’œuvre de George Sand
Rebai (Elyssa)

Pages 81 à 95
Objets tabagiques chez George Sand
Le Guillou (Claire)

Pages 97 à 115
Le périple des chapeaux dans le récit sandien
Signifier et transformer
Derbac (Gheorghe)

Pages 117 à 133
Objets féminins, robes et bijoux dans quelques romans de George Sand
Santa (Àngels)

Pages 135 à 153
Quand les objets s’animent
Les instruments de musique chez George Sand
Popic (Lara)

Pages 155 à 167
« Cette vie de paquets et d'auberges »
George Sand et les objets du voyage
Antoine (Philippe)

Pages 169 à 184
Des voitures dans les romans de George Sand
Un objet ou un rythme ?
Hanin (Laetitia)

Pages 185 à 194
Les dessous de la table de George Sand
Harvey (Cynthia)

Pages 195 à 213
La circulation des objets et la société égalitaire du futur
Une corrélation significative dans les romans de Sand des années 1840
Silvestri (Agnese)

Pages 215 à 227
Don d’objets dans quelques romans de George Sand
Rice-DeFosse (Mary)

Pages 229 à 242
Propriété, don, partage
Économie symbolique et poétique de l’objet dans quelques romans de George Sand
Diaz (Brigitte)

DEUXIÈME PARTIE
OBJETS ÉCRITS, ÉCRITURE DE L’OBJET

Pages 245 à 259
Les lits de l'écritoire dans l’œuvre de George Sand
Bernard-Griffiths (Simone)

Pages 261 à 272
Le livre à l’œuvre
Horace ; La Daniella ; Laura, voyage dans le cristal ; La Confession d’une jeune fille ; Nanon de George Sand
Levet (Marie-Cécile)

Pages 273 à 293
Espaces et objets de l’écriture dans la fiction sandienne
Figuerola (Carme)

Pages 295 à 310
George Sand dans le « palais de la fée Babiole »
Diaz (José-Luis)

Pages 311 à 325
Signification symbolique de la statue dans Jeanne
Murata (Kyoko)

Pages 327 à 338
Le Miroir dans La Filleule
Rea (Annabelle M.)

Pages 339 à 350
Le sceptre, la flamme et l’épée
Le matrimoine de Sand
Hoog Naginski (Isabelle)

Pages 351 à 364
L’objet sacré chez George Sand
De l’idolâtrie de l’image à la lumière du symbole
Didier (Béatrice)

Pages 365 à 379
Les Contes d’une grand-mère, objets fantastiques ou merveilleux ?
Pour une perception allégorique des objets dans Le Château de Pictordu
Fournier Kiss (Corinne)

Pages 381 à 397
Usages du portrait peint dans les fictions de George Sand
Bercegol (Fabienne)
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ブログ 「オルフェの歌」

2021年08月16日 | 覚え書き
本ブログをご訪問くださっている皆様、

 いつもご訪問いただき、ありがとうございます。
 コロナのデルタ禍に加え不順な気象が続いていますが、お変わりなくお過ごしでしょうか。

 本日は「オルフェの歌」と名付けられた次のブログをご紹介いたします。 
 

 おもに、プルースト研究について書かれているブログです。
 プルースト少年が就寝前に母親に読んでもらうのを楽しみにしていたサンドの小説『捨て子のフランソワ』(現存する邦訳名は『棄て子フランソワ』や名付けに関する考察は、サンド研究者にとって非常に興味深いものがあると思われます。

 デルタ禍の時節ゆえ、皆様のなお一層のご自愛をお祈り申し上げます。
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訃報です。 フランソワーズ・ヴァン・ギュイヨン氏がお亡くなりになりました。

2021年08月10日 | 覚え書き

 フランソワーズ・ヴァン・ギュイヨン氏は、日本でジョルジュ・サンド生誕二百年記念シンポジウム「ジョルジュ・サンドの20,21世紀への遺産ー芸術と政治」を2004年に開催した際、サンドにおける小説技法についてご発表くださいました。フランスから招聘された他の五名のサンド研究および19世紀文学のご専門家や芸術や映画研究者の先生方とともに来日されたのでした。
 九州まで足をのばされた新幹線の旅では、日仏文化の違いから生じる数々のユーモアあふれるエピソードを残されたことも日本のサンド研究者にとって懐かしい思い出です。
 スリジーCerisy の国際ジョルジュ・サンド学会では、ご自分で運転される車で海辺の町までお連れくださるなど、大変ご親切にして頂きました。
 
      心よりご冥福をお祈り申し上げます。

ーーー
I write to share the sad news that Françoise van Rossum-Guyon has passed away à the age of 89. She suffered a stroke in the retirement home where she was living. We thus mark the passing of a major scholar of George Sand and for those of us who had the pleasure of sharing her company, her joie de vivre will be sorely missed.
 
Chère Mary,

Merci infiniment de nous avoir informés du décès de Madame Françoise Guyon. Madame Guyon est venue au Japon pour le colloque "Les héritages de George Sand aux 20e et 21e siècle : les arts et la politique" que nous avons organisé en 2004 à l'occasion du bicentenaire de sa naissance, où elle a fait une présentation sur l'art du roman et l'acte de politique chez G.Sand. 
Avec sa personnalité pleine d'humour, elle a laissé un agréable souvenir aux sandiens japonais.
Nous lui souhaitons un repos paisible et adressons nos plus sincères condoléances à sa famille et à ses amis.

Je m'excuse du retard pris pour répondre à votre e-mail, mon ordinateur étant tombé en panne.

Bien cordialement.
Haruko Nishio

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