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西尾治子 のブログ Blog Haruko Nishio:ジョルジュ・サンド George Sand

日本G・サンド研究会・仏文学/女性文学/ジェンダー研究
本ブログ記事の無断転載および無断引用をお断りします。
 

Aspects de Chopin Cortot

2010年04月26日 | 新刊書(海外)


ショパンといえばコルトーが好きという先生方や学生さんがいて、アルフレッド・コルトーが偉大なピアニストだということは何となく知っていましたが、コルトーは演奏活動だけでなく、作家活動もしていたのですね。"Aspects de Chopin"の著者でもあったのでした。
このことは、パリで哲学と科学に関する研究を進めておられるPaul ailleurs先生のブログが教えてくださいました。「初版はショパン没後100年に当たる1949年」とのこと、再版されたのは画期的なことだと思います。折をみて、是非、読んでみたいものです。

"Aspects de Chopin" (Broché)
de Alfred Cortot (Auteur), Hélène Grimaud (Préface)

Présentation de l'éditeur
Alfred Cortot fut sans doute le plus inspiré des grands pianistes français du XXe siècle. Musicien et pédagogue d'exception, mais aussi écrivain militant, il brosse ici avec passion le portrait de Chopin, un homme à qui tout l'apparentait et qu'il connaissait sur le bout des doigts. Images, légendes, amitiés, amours malheureuses, analyses techniques, savoir-vivre et savoir-faire, Alfred Cortot passe un à un en revue les aspects les plus décisifs de la vie et de l'oeuvre de son compositeur préféré. Défini par Stefan Zweig comme " la tendresse dans la grandeur ", l'art d'Alfred Cortot trouve aujourd'hui en Hélène Grimaud, grande pianiste et ambassadrice émérite de Chopin, une préfacière pour laquelle le compositeur - dont on célèbre le bicentenaire de la naissance - n'appartient pas au passé, mais engage le temps de la méditation et de l'amour à venir. Un homme qui n'en finit pas de nous séduire avec ses valses et de nous plonger, le coeur inquiet, au plus profond de ses Nocturnes.

Détails sur le produit
Broché: 277 pages
Editeur : Albin Michel (10 février 2010)
Langue : Français
ISBN-10: 2226195904
ISBN-13: 978-2226195906

http://www.amazon.fr/Aspects-Chopin-Alfred-Cortot/dp/2226195904/ref=sr_1_2?ie=UTF8&s=books&qid=1271868513&sr=8-2
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A. de Musset ミュッセ

2010年02月18日 | 新刊書(海外)
A. CHARTON, ALFRED DE MUSSET
PARUTION LIVRE

Information publiée le mercredi 17 février 2010 par Pierre-Louis Fort
Alfred de Musset
A. Charton
Paris : Gallimard, coll. "folio biographie", 2010.
323 p.
EAN 9782070307852
prix 7, 10 EUR

Présentation de l'éditeur:
Enfant terrible du romantisme, Alfred de Musset (1810-1857) fut considéré de son vivant comme un météore qui n'avait jamais donné la pleine mesure de son talent.
On ne voulait voir en lui qu'un auteur de comédies charmantes, de contes légers et de poèmes lyriques. La Confession d'un enfant du siècle fut publié dans une sorte d'indifférence : il ne chercha jamais à dissiper ces malentendus. Observateur désabusé d'une époque qui l'ennuie, il est pourtant celui qui dit le mieux le désenchantement de sa génération. Trop souvent réduit à sa réputation d'écrivain sentimental et à sa liaison avec George Sand, Musset est notre contemporain : parce qu'il place sa vie et son oeuvre sous le signe de la modernité et de la liberté individuelle.

Ariane Charton s'est spécialisée dans l'étude de la littérature romantique.
Elle a publié Le Roman d'Hortense (Albin Michel), consacré à Hortense Allart, la dernière maîtresse de Chateaubriand, et a établi l'édition des Lettres pour lire au lit, correspondance amoureuse entre Marie Dorval et Vigny (Mercure de France). Elle est aussi l'auteur de pièces radiophoniques et d'une anthologie, Cher papa, les écrivains parlent du père (J. C)



ミュッセ生誕二百年に関する情報が以下のサイトに掲載されています。

Musset : Quelles manifestations pour le bicentenaire de sa naissance ?

http://www.actualitte.com/actualite/17112-Musset-bicentenaire-naissance-manifestations-edition.htm
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100 monuments, 100 ecrivains

2010年01月10日 | 新刊書(海外)
100 monuments, 100 écrivains : un nouveau regard sur le patrimoine

sous la direction d'Adrien Goetz
ISBN 978-2-7577-0056-3 (français) 80.00€
23,5 x 29,5 cm
relié plein papier
488 pages
850 illustrations

De la grotte de Font-de-Gaume à la villa Savoye, de l’abbaye du Mont-Saint-Michel à la forteresse de Salses, des alignements de Carnac au trophée d’Auguste à la Turbie, de la Sainte-Chapelle au château de Bussy-Rabutin, ou encore du château d’Azay-le-Rideau à l’abbaye de Cluny, les quelque cent monuments et sites que conserve, restaure, entretient, ouvre à la visite et anime le Centre des monuments nationaux permettent de proposer, dans leur grande diversité d’époques, de styles, de fonctions originelles, une approche multiple de l’histoire de notre pays tout autant qu’un agréable et séduisant parcours dans sa géographie.

Un florilège de la scène littéraire française
Dans cet ouvrage unique, chaque monument présenté fait l’objet d’une double approche : l’une, littéraire se présente comme une « carte blanche » donnée à une centaine d’écrivains ; l’autre, historique, est confiée aux administrateurs des sites.
Si certains rapprochements s’imposent comme des évidences –ainsi
Robert Badinter a écrit sur la Conciergerie, Hubert Nyssen sur Villeneuve-lès-Avignon–, d’autres rencontres sont bien plus inattendues mais toutes produisent des textes d’un grand intérêt, qui sont souvent pour les auteurs l’occasion d’un retour sur leur propre histoire.
Martin Page propose une promenade très émouvante dans les alignements de Carnac. L’abbaye du Thoronet a inspiré Eliette Abécassis, Le Puy-en-Velay Julia Kristeva, Champs-sur-Marne Pierre Assouline, le château d’Angers et la tapisserie de l’Apocalypse Jacques Attali, la villa Savoye Danièle Sallenave et la villa Cavrois Alain Fleischer, la colonne de Wimille Didier Daenincks… Catherine Millet invite le lecteur à déambuler dans la forteresse de Salses. Jean-Noël Jeanneney exalte la haute figure de Gambetta aux Jardies, Mathieu Enart raconte la rencontre entre Georges Clemenceau et Joseph Kessel à Saint-Vincent-sur-Jard. Au cours de sa visite au château de Cadillac, Arnaud Maisetti se remémore la souffrance des femmes détenues en ce lieu. Dans « L’œuvre d’une mère terrassée », Carole Martinez s’identifie à la douleur de la commanditaire du château de Montal. Camille de Toledo établit un parallèle entre l’Ouest et l’Est de l’Europe, entre les mégalithes de Locqmariaquer et les stèles de Treblinka. Certains textes volontairement provocateurs portent néanmoins un regard ému sur le monument, tels ceux de Philippe Besson sur l’Arc de triomphe, de Marie Nimier sur le château d’If ou de Philippe Lacoche sur les tours de la cathédrale d’Amiens. D’autres sont tout de tendresse et d’affection, tel celui de Gérard Mordillat pour les tours de La Rochelle, ses « sœurs de la côte ».

Une iconographie très choisie
L’illustration tient une place de choix dans cet ouvrage avec une iconographie originale composée d’images réalisées tout exprès par Karim Ben Khelifa, Waldemar Gielarek, François Le Diascorn et Caroline Rose ,d’une sélection de photographies provenant notamment de l’agence Magnum ( Henri Cartier-Bresson, Harry Gruyart, Richard Kalvar, Erich Lessing, Gueorgi Pinkhassov…) mais aussi de clichés par Robert Doisneau, Lucien Hervé ou Willy Ronis, et d’autres tirés des fonds anciens et actuel du Centre des monuments nationaux.


http://editions.monuments-nationaux.fr/fr/le-catalogue/bdd/livre/714


2010, c'est l'annee du tigre au Japon.
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"PIERRE LEROUX, PENSEUR DE L'HUMANITE"

2009年11月12日 | 新刊書(海外)
"PIERRE LEROUX, PENSEUR DE L'HUMANITE" Bruno Viard Sulliver, février 2009, 138 pages 14 €

http://www.boojum-mag.net/f/index.php?sp=liv&livre_id=1881 より ↓

Une exhumation salutaire

Bruno Viard, professeur de littérature française à l'Université de Provence, nous convie à une histoire d"amour, née de ses recherches sur le lien social, terrain passionnant et aussi glissant que la notion (oxymore ?) d’intelligence émotionnelle. Il est le fils de Jacques Viard, qui maintient le souvenir du philosophe depuis des décennies.

Il fait paraître chez Sulliver une étude, profondément humaine, à propos de Pierre Leroux. La quatrième de couverture sacrifie à la complaisance du temps présent, arguant que le XVIIIe siècle fut celui des philosophes et de mettre en regard une supposée indigence du siècle suivant. Il s’agit bien évidemment de mettre en exergue un Pierre Leroux d’autant plus oublié qu’il n’est pas imbécile.

Le philosophe crasseux…

L’auteur nous conte l’histoire de Pierre Leroux, Pierre l’érudit, le crasseux, le terne, joie des caricaturistes, ami de George Sand et de tant d’autres. Pour l’instant, son aspect autistique, ami d’une personne à l’âme aussi large que la cuisse, ou bien qui s’y réduit, n’a rien de bien motivant.

Explorons davantage le personnage tel que l’auteur, avec mesure (lui), nous y invite.

Né en 1797, Parisien de famille pauvre, il est la représentation même de la faillite des principes volontaristes de la Révolution, qu’un Empire sans âme entend matérialiser. Malgré sa bourse impériale, il trébuche à l’entrée de l’Ecole Polytechnique. Il devient donc ouvrier typographe. Pensant et ne cessant de l’être, il s’offre le luxe de voir les nuances de son temps en plein bouleversement.

Ecrasé par sa finesse ?

Sa pensée, formée de cette façon l’a condamné à un oubli plus que relatif. Il refuse l’aspect binaire de la perspective sociale. Il est tout autant hostile à un socialisme absolu qui détruit l’individu par une discipline réductrice et totalitaire, qu’à un libéralisme absolu qui angélise les capacités altruistes du même individu dont l’ego est la seule référence. Leroux invente néanmoins le mot « socialisme » en 1834.

Il a le courage de tester sa pensée dans une des fameuses communautés expérimentales de son siècle ; de celle qui provoque la commisération ou les bons sentiments des « bobos » contemporains. Certes, ce type de tentative a été paré du titre de socialisme utopique, c’est péjoratif ; une des astuces du socialisme « scientifique » ayant consisté tout simplement à écarter la plus grande partie du réel : l’incompréhensible devient irréel puisqu’il n’est pas explicable à cette mesure !

En 1848, il est à l’origine de notre devise, que bien peu de personnes sont à même de pratiquer. On bute toujours sur la contradiction de la liberté et de l’égalité, et, sur la fragilité de cette fraternité réconciliatrice que, faute d’immanence égarée, de belles personnes comme Pierre Leroux, mort en1871, messie dérisoire, ont échoué à rendre concrète.

Les chemins des honnêtes gens sont bien variés. Cet ouvrage, véritable stimulant, est réservé à ceux qui veulent encore penser par eux-mêmes. J’avoue avoir été aussi agacé que séduit par les circonvolutions de l’auteur et avoir produit un article un peu vif, du fait du personnage. À lire nom d’une pipe !

Didier Paineau

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Disguise in George Sand's Novels

2009年10月23日 | 新刊書(海外)
Francoise Ghillebaert , "Disguise in George Sand's Novels" , 2009, USA, Peter Lang



画像はルイ14世の扮装をしたサンドです。
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LE DIABLE A PARIS『パリの悪魔』

2009年10月20日 | 新刊書(海外)
『パリの悪魔』は、サンド、ミュッセ、バルザック、ゴーティエ、ノディエ、ネルヴァル、ジャナンといったロマン主義時代を代表する作家たちによって当時のパリの様相を描いた作品集として知られていますが、サンドが担当した著作を収集した書が Honore Champion 社から出版されました。

"OEUVRES COMPLETES"
1845-46 LE DIABLE A PARIS
1857. LE DIABLE AUX CHAMPS
Edition critique publiée par Jeanne Goldin

"Le diable est bon observateur, qu'il soit boiteux, fourchu, rustique ou parisien : G. Sand nous donne dans ces deux œuvres quise complètent, les articles du Diable à Paris à la veille de 48 et le Diable aux champs longuement perturbé par le coup d'état de 51, un saisissant tableau de la France au milieu du XIXe siècle. Cette réalité dénoncée avec causticité ou fanta isie montre à la fois la capacité de l'auteur à s'adapter aux événements sans jamais perdre de vue ses principes et la variété de ses techniques d'écriture : adresse directe et lettres fictives, nouvelle et cette étonnante forme hybride du roman dialogué". Les trois textes de George Sand parus en 1844-1845, dans le recueil collectif et illustré de P.-J. Hetzel : Le Diable à Pari s, est malgré la diversité des thèmes, un corpus unitaire, exemplaire, sous une forme restreinte, du journalisme et de l'écriture sandiennes. Le socialisme virulent du Coup d'œil sur Paris, la satire des salons et du monde parisien dans cette petite nouvelle des Mères de famille, l'ouverture vers l'Autre contre les préjugés dans les deux lettres à Jules Néraud de la Relation d'un voyage chez les sauvages de Paris, montrent son engagement à la fois social et personnel et l'étonnantecirculation, dans son œuvre, entre les différentes écritures privée et publique, journalistique et autobiographique, romanesqueet épistolaire. Le Diable aux champs (1857), une œuvre hors du commun. Elle devait être, dans un cadre campagnard et sous une forme légère et dialoguée, un portrait de la société française après l'échec de 1848. Au générique : des familiers de Nohant, en particulier des artistes, Maurice et ses amis préparant un spectacle de marionnettes, des personnages ressuscités de romans défunts, philosophes ou paysans face à des personnages nouveaux, curés, bourgeois, aristocrates, enfin des chœurs d'animaux qu i ponctuaient les sept parties du roman.

Prix EUR TTC: 120.00







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Histoire de chambres

2009年09月06日 | 新刊書(海外)

Le cahier livres de Libé
LIVRES 03/09/2009 À 00H00

Chambres avec vue
CRITIQUE
Intérieur. Michelle Perrot se penche sur l’univers caméral du Moyen Age à nos jours.
Par CLAIRE DEVARRIEUX

Michelle Perrot
Histoire de chambres
Seuil, «La librairie du XXe siècle», 450 pp., 22 euros.

Comment les chambres visitées par Michelle Perrot ne seraient-elles pas romanesques ? «Les retrouver dans le dédale et l’enchaînement des textes fut le principal plaisir de cette recherche», écrit l’historienne, qui tient avec son sujet «fil d’Ariane» et «caverne d’Ali Baba», franchissant les murs de centaines de résidents réels ou imaginaires avec un bonheur et une émotion communicatifs. Il s’agit de répertorier, et d’inventorier, la chambre à coucher, celle que nous avons toujours connue, mais n’a pas toujours existé comme ça ; celle qui semble en voie de disparition dans le logement contemporain, lequel privilégie la chambre des enfants.

Le XIXe siècle à son terme est l’âge d’or des dandys amateurs de bric-à-brac, mais, auparavant, il marque l’avènement de la chambre conjugale pour les classes moyennes (après 1840) comme pour les aristocrates embourgeoisés. «Le lit est tout le mariage», dit Balzac. Zola est un formidable architecte d’intérieur, très au courant des codes sociaux, qui fait mourir Nana dans une chambre d’hôtel, et Gervaise hors de la chambre où elle avait cru achevée sa réussite sociale.

Révolution. L’univers caméral est lié à la lecture, à l’écrit, à l’écrivain. Sans parler des chambres de malades (Proust, Joë Bousquet), une chambre à soi est indispensable à la création, qu’elle appartienne aux romancières anglo-saxonnes, Virginia Woolf en tête, ou à Simone de Beauvoir, rentrée chez elle après la vie de café. On la retrouvera plus tard, au chevet de sa mère, dans une chambre d’hôpital. Quant à l’univers carcéral, il est des prisons littéraires, comme celle de Silvio Pellico, mais on n’aurait garde de confondre chambre et cellule ; le prisonnier n’est pas chez lui.

Voici George Sand sur son lit de mort, du temps qu’on naissait et trépassait à la maison («dimension anthropologique» de la chambre). Voici Franz Kafka, aussi désireux de son refuge que Sartre est pressé d’en sortir. André Gide voulait «un abri dans un paysage». Les «établis» d’après-68 refusaient la révolution en chambre. Tout le monde n’a pas envie de tourner en rond dans son cocon. Et puis pourquoi toujours associer le retrait et la clôture ?

C’est une des vertus de cette somme que de dissocier les évidences binaires. Au XVIIe siècle, on envoie la «pensée dévote» s’aérer dans la nature, un mode de retraite ambulante que reprendra Rousseau. Avant le règne de la chambre conjugale, plus ou moins régentée par l’Eglise, la chambre est individuelle, féminine, «espace de réception et de sociabilité» (nous ne parlons pas ici de la future chambre des jeunes filles) qui annonce l’ère des salons : espace privé, ou public, ces frontières sont mouvantes.

Que voit le roi aux heures de son lever et de son coucher, cérémonies publiques ? Que ressentent les familles rurales et prolétaires entassées dans une pièce unique, qu’est-ce que le «grand mélange des sexes» d’antan ? Comment déjouer les fantasmes qui entachent les enquêtes en milieu ouvrier ? Cette empathie, cette inquiétude des sensations d’autrui, de s’approcher au plus près, au plus vrai, fonde l’art des historiens. C’est surtout par le regard de Michelle Perrot sur les détails de son inventaire qu’Histoire de chambres est si romanesque.

Couette. L’exposition est variée : on y trouve le papier peint, en usage à partir du XVIIIe siècle, d’origine anglaise, et populaire avant de devenir bourgeois. On suit les avatars de la couette. Mais ce livre n’est pas seulement «une contribution à l’histoire de la nuit», selon la proposition modeste de l’auteur. Il ouvre la porte des chambres de bonne et des garnis. Il fait revivre un peu «le fond de la misère» à Paris au début du XXe siècle, deux sœurs lingères, une veuve de facteur. Encore ont-elles un toit.

Observatrice de ce début du XXIesiècle, Michelle Perrot plaide pour le droit au logement. Elle voit aussi progresser la tendance à l’enfermement répressif, cette «solution archaïque».Histoire de chambres est néanmoins un ouvrage moins politique que personnel : «A chacun de se souvenir, d’écrire sa propre histoire de chambre.»
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Le village en question

2009年08月20日 | 新刊書(海外)
Le village en question : promenades avec George Sand
Georges Lemoine
(La Martinière - Août 2006)

Entre 1857 et 1864, pendant la saison d'été, George Sand quitte son château de Nohant pour rejoindre en calèche le petit village de Gargilesse, dans l'Indre, village qu'elle décrit dans Promenades autour d'un village (1857). Cent cinquante ans plus tard, Georges Lemoine, célèbre illustrateur, part sur les traces de la romancière, en quête du " village en question ". Parallèlement aux textes de George Sand, il remonte le temps, accompagnant cette rencontre de textes sensibles et de délicats dessins rehaussés de couleurs. Son précieux carnet de voyage littéraire est ici reproduit à l'identique.

Prix : 25€
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サンドと写真家ナダール

2009年08月04日 | 新刊書(海外)
サンドと19世紀フランスの名高い写真家ナダールに関する書が出版されました。ナダール一家とサンドとの交流の様子やサンドが当時の革新的技術であった写真撮影に対して取った姿勢、またその変化についても描かれているようです。

"George Sand Felix Nadar" par Malecot Claude
Editorial: Patrimoine
ISBN 13: 9782858227853

http://www.actuphoto.com/10941-george-sand-felix-nadar-.html

George Sand - Félix Nadar, portraits photographique
une exposition photographique autour du portrait mettant en lumière les relations entre Sand et Nadar - 2004

画像:ナダールの息子と日本の第2回遣欧使節団、1863年
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Sand et Musset

2009年07月01日 | 新刊書(海外)
"George Sand et Alfred de Musset : les amants impossibles"
PHILIPPE VALLET - 3 MAI 2009
La romancière George Sand et le poète et auteur de théâtre Alfred de Musset ont vécu l’une des histoires d’amour les plus intenses de la littérature. Mais cette passion folle conservait encore bien des mystères. Dans son nouveau livre, le journaliste littéraire Pierre Canavaggio propose un autre regard sur ces amants terribles et pathétiques.
« George Sand et Alfred de Musset : Les amants impossibles », de Pierre Canavaggio est publié aux éditions Alphée - Jean-Paul Bertrand (268p., 21,90E)

Présentation de l’éditeur

En 1833, George Sand commence à Paris une carrière de romancière qui sera retentissante et hors-norme. A la même époque, Alfred de Musset fréquente les salons où son talent poétique est déjà reconnu à 20 ans. C’est alors que leur rencontre a lieu, marquant le point de départ d’une histoire d’amour et de ruptures à la mesure de leur génie. Avec une verve de chroniqueur, une précision d’enquêteur et un style incisif, Pierre Canavaggio nous transporte au XIXe siècle, dans le secret de la vie de ces deux amants. Reconstruisant leur liaison à travers leurs romans, les poèmes de Musset et leur correspondance, il dévoile ce qu’ils ont écrit ou caché de leur amour, entraînant le lecteur dans les coulisses d’un épisode flamboyant de la littérature française.

Biographie de l’auteur

Pierre Canavaggio est journaliste, chroniqueur littéraire, ancien rédacteur en chef d’Historama, chroniqueur au Quotidien de Paris, au Nouvel Adam. Il collabore à la Revue des Deux Mondes et au Point. Il est l’auteur du Dictionnaire des superstitions (Pocket), Du bon usage des superstitions, (Table Ronde), Les Superstitions de l’amour aux éditions du Rocher ; et de La Petite Histoire des superstitions aux éditions Alphée.
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