Prosper et George au théâtre La Bruyère
Prosper Mérimée Et George Sand
Auteur : Gérard Savoisien
Metteur en scène : Thierry LAVAT
Avec Miren Pradier , Christophe de Mareuil
Durée : 1h10min
L'histoire de la courte idylle entre Prosper Mérimée et George Sand.
http://spectacles.premiere.fr/pariscope/Theatre/Salle-de-Spectacle/Spectacle/Prosper-Merimee-Et-George-Sand-2235712
“ Un des ces jours d’ennui et de désespoir, je rencontrai un homme qui ne doutait de rien, un homme calme et fort, qui ne comprenait rien à ma nature et qui riait de mes chagrins. La puissance de son esprit me fascina entièrement. […] Ainsi après avoir cru que des années d’intimité ne pouvaient pas me lier à une autre existence, je m’imaginais que la fascination de quelques jours déciderait de mon existence. Enfin je me conduisis à trente ans comme une fille de quinze ans ne l’eût pas fait, et je commis la plus incroyable sottise de ma vie, je fus la maîtresse de P[rosper] M[érimée]. […] s’il m’eût aimée, il m’eût soumise, et si j’avais pu me soumettre à un homme, je serais sauvée, car ma liberté me ronge et me tue. ”
George Sand à Sainte-Beuve, 24 juillet 1833, Correspondance, t. II, p. 374-375
Prosper Mérimée Et George Sand
Auteur : Gérard Savoisien
Metteur en scène : Thierry LAVAT
Avec Miren Pradier , Christophe de Mareuil
Durée : 1h10min
L'histoire de la courte idylle entre Prosper Mérimée et George Sand.
http://spectacles.premiere.fr/pariscope/Theatre/Salle-de-Spectacle/Spectacle/Prosper-Merimee-Et-George-Sand-2235712
“ Un des ces jours d’ennui et de désespoir, je rencontrai un homme qui ne doutait de rien, un homme calme et fort, qui ne comprenait rien à ma nature et qui riait de mes chagrins. La puissance de son esprit me fascina entièrement. […] Ainsi après avoir cru que des années d’intimité ne pouvaient pas me lier à une autre existence, je m’imaginais que la fascination de quelques jours déciderait de mon existence. Enfin je me conduisis à trente ans comme une fille de quinze ans ne l’eût pas fait, et je commis la plus incroyable sottise de ma vie, je fus la maîtresse de P[rosper] M[érimée]. […] s’il m’eût aimée, il m’eût soumise, et si j’avais pu me soumettre à un homme, je serais sauvée, car ma liberté me ronge et me tue. ”
George Sand à Sainte-Beuve, 24 juillet 1833, Correspondance, t. II, p. 374-375