Tous les êtres qui aiment la grande rêverie simplifiée, simplifiante, devant un ciel qui n’est rien autre chose que « le monde de la transparence », comprendront la vanité des « apparitions ». Pour eux, la « transparence » sera la plus réelle des apparences. Elle leur donnera une leçon intime de lucidité. Si le monde est aussi volonté, le ciel bleu est volonté de lucidité. Le « miroir sans tain » qu’est un ciel bleu éveille un narcissisme spécial, le narcissisme de la pureté, de la vacuité sentimentale, de la volonté libre. Dans le ciel bleu et vide, le rêveur trouve le schème des « sentiments bleus » de la « clarté intuitive », du bonheur d’être clair dans ses sentiments, ses actes et ses pensées. Le narcisse aérien se mire dans le ciel bleu.
L’Air et les Songes. Eissai sur l’imagination du mouvement,
Le Livre de Poche, p. 220.
昨日の記事の冒頭に引用した『徒然草』第二十段の中の「空の名残」について、上に引用したバシュラールの『空と夢』の一節を手掛かりに、一つの解釈を提案してみたい。
なぜ、地上の出来事からは離脱できたとしても、「空の名残」にだけは心惹かれてしまうということが起こるのか、この一節を翻案しながら考えてみよう。
空が「透明の世界(le monde de la transparence)」として私たちを超え包むとき、その透明性の裡に現われるすべての「現われ(apparitions)」は虚しいものであることが実感される。そのように世界が生きられるとき、すべての現われを透過する空の透明さこそ最も現実的なものであることがわかる。青空の透明さは、澄明の現実性、澄明さそのものが何よりもそれとして望まれているということを内側から理解させる。空は「裏箔なき鏡(miroir sans tain)」であり、そこに現われるすべては、その様々に異なった移ろいやすい現われゆえにその「名残」が「惜しまれる」のではなく、それらすべてをそれとして現われさせつつ、己自身は現われることなき空の無限の透明性の「名残」として、遅かれ早かれこの世を立ち去るはかなき現身(うつしみ)によって、どこまでも愛惜されるのではないであろうか。